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Momo, ( + de 70 ans)

Momo, ( + de 70 ans) que j’ai connu par hasard, m’a parlé de son histoire.Il a été de plusieurs métiers et surtout un indocile avec des côtés anarchistes.

Un jour cela l’a conduit à être mis sous curatelle comme le TPAE à Genève aime beaucoup le faire suite à des dénonciations d’assistants dit sociaux complices. Le gars est un super bon type. Pas certain qu’il écraserait une mouche qui pourtant l’emmer….

Dans nos discussions et nos partages au gré de nos sentiments d’amitié et d’humanité, il m’a dit un de ses rêves. Avoir un vélomoteur et parcourir les routes avec une remorques, une tente et se poser ou bon lui semble. Émerveillé par ce rêve plein de poésie qui m’a immédiatement fait penser au film « Les petites fugues » d’Yves Yersin, je lui ai dit chiche ton rêve n’est pas utopiste et nous allons le réaliser.

Ce ne fut pas facile de convaincre sa tutrice un était rétive. Mon argumentation était que l’intéressé avait un permis de conduire en bonne et due forme.
Et est-ce que mourir seul et abandonné de tous dans un lit d’hôpital où d’EMS était mieux que de mourir d’avoir rêvé d’escapades sur la route ? In fine, l’affaire a pu se faire et Momo à pu acquérir son vélomoteur en plus d’une ancienne remorque de facteur et d’une tente.

Il fait sa vie de bonhomme de chemin sans accident et au plaisir de ses envies depuis plus de 3 ans. Sans contrainte, rien que pour son plaisir.

Puisse la vie lui prêter encore de pouvoir enfourcher son fidèle destrier et parcourir tous les plus beaux rêves qui lui restent.

Ciao l’ami Momo, j’aime la liberté que tu as dans ta tête, celle que j’ai modestement contribué à te faire retrouver en plus de qui tu es !

Volodia.

Marc, suite et fin

Nous avons passé de nombreuses heures a débroussaillé son histoire.

Il faut savoir que cet enseignant a pris une décision que nous estimons arbitraire qui le dessert.

Depuis 2016, il n’a plus payé la pension alimentaire due pour son fils.

Malgré un bon salaire, il s’est chargé sur le plan financier, en contractant plusieurs leasings, un crédit, et plus.

Il est resté dans une posture rigide, obstinée, sans ouverture.

Une date butoir avait été fixée par la justice pour produire des pièces, avant une saisie directe sur son salaire et plus car l’affaire devient pénale.

Un avocat d’accord d’agir avait été trouvé, que nous aurions financé.

Nous avions fixé un cap qu’il devait accepter, sauf aller à sa perte.

 

  • Reprendre le paiement de la pension surajouté d’un montant d’amortissement de sa dette, soit un montant de CHF 1’000.00, dès le lendemain de la perception de son salaire.
  • De s’engager de faire ce règlement sans faute via un ordre permanent.
  • De nous produire la preuve de l’avoir fait, afin de fournir à l’avocat ces pièces essentielles à sa défense.
  • D’adopter une attitude constructive pour convaincre la justice et les organes sociaux de sa bonne foi et regagner une confiance perdue.
  • De se soumettre aux procédures pour cette reconquête de son fils et de meilleures relations avec son ex-compagne.

 

Une fois l’aspect financier purgé et accepté par le Tribunal.

D’entreprendre toutes les démarches pour qu’il puisse revoir son fils et rétablir un droit de visite à remettre en place.

 Nous ne voulions pas entrer dans tous autres procédures, celles proposées étant déjà évaluée à

CHF 10’000.00/12’000.00 et peut-être même plus.

 Au vu de la situation, cela nous est apparu raisonnable et possible.

Tout en imaginant que l’avocat devrait faire preuve de talent pour que le Tribunal accepte ce plan.

 Conclusion :

Marc ne s’est pas exécuté, il est resté dans une posture de griefs tout azimut, contre une juge, son ex-compagne, des erreurs du système et autres fautes.

  • Surtout, il ne nous pas écouté.
  • N’a pas fait le versement convenu ni fait d’ordre permanent.
  • Il n’a pas tenu la parole donnée

 Dommage pour lui, car la partie est d’avance perdue et le risque d’une descente aux enfers est majeur.

 Notre association n’a que pour but de venir en aide à celles et ceux qui la sollicite, mais nous ne pouvons pas agir dans l’absurde, ni contre la loi, mais seulement en imaginant des plans raisonnables et en ouvrant des portes que les demandeurs se doivent de saisir.

Information sur le financement de nos activités et actions

J’ai personnellement reversé la quasi-totalité des indemnités que j’ai perçue du Canton de Vaud et de la Confédération Suisse, en tant que victime reconnue au plus haut degré des « placements abusifs et mesures coercitives »

Plusieurs soutiens nous ont fait soit un versement unique, soit périodique ou encore mensuel.

Ces petits ruisseaux financiers permettent à l’association de continuer à porter ses actions d’aides, que personne d’autre ne fait et pas plus les institutions et services de l’état.

Dans certains cas, nous sollicitons des particuliers, des entreprises, fondations et autres.

Ce sera le cas pour la création de notre projet de création du « Village l’Escale » destiné aux personnes ayant perdu leur logement et vivant en déshérence.

A ce jour, nous ne disposons d’aucun subside, ni d’aides financières des pouvoirs publics.

L’aide de toutes les personnes sensibles à nos actions, nous sera utile et nous nous engageons d’en faire bon usage.

Le père d’un enfant Marc, ne le voit plus…

Le père d’un enfant Marc (prénom d’emprunt) qui est enseignant, ne le voit plus suite à plusieurs décisions judiciaires.

Malgré de nombreux recours et des dépenses somptuaires en frais d’avocats, rien n’y fait.   

  • La justice est sourde et hermétique à ses demandes.
  • Vous pouvez imaginer son désespoir.
  • Pour compliquer les choses, son enfant et sa maman vivent dans le canton de Vaud, lui enseigne à Genève et habite en France voisine.
  • Malgré un revenu correct, sa situation financière est des plus précaires et il a commencer à accumuler des dettes 

Notre association a décidé de l’aider en lui proposant de régler la provision d’un avocat de son choix pour le sortir de plusieurs ornières dans lesquelles il se trouve, avec le risque d’une situation qui ne va qu’en s’aggravant et qui pourrait lui faire perde son emploi, ce qui serait une catastrophe.

Aidez-nous dans ce soutien en faisant un don sur le compte de Changer la Vie en précisant pour Marc.

Nos coordonnées de compte figure sous la rubrique « soutenir l’association »

Le 100 % des versements faits iront directement au financement de ce cas, pour aider Marc à revoir son enfant et plus.