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Nous avons passé de nombreuses heures a débroussaillé son histoire.

Il faut savoir que cet enseignant a pris une décision que nous estimons arbitraire qui le dessert.

Depuis 2016, il n’a plus payé la pension alimentaire due pour son fils.

Malgré un bon salaire, il s’est chargé sur le plan financier, en contractant plusieurs leasings, un crédit, et plus.

Il est resté dans une posture rigide, obstinée, sans ouverture.

Une date butoir avait été fixée par la justice pour produire des pièces, avant une saisie directe sur son salaire et plus car l’affaire devient pénale.

Un avocat d’accord d’agir avait été trouvé, que nous aurions financé.

Nous avions fixé un cap qu’il devait accepter, sauf aller à sa perte.

 

  • Reprendre le paiement de la pension surajouté d’un montant d’amortissement de sa dette, soit un montant de CHF 1’000.00, dès le lendemain de la perception de son salaire.
  • De s’engager de faire ce règlement sans faute via un ordre permanent.
  • De nous produire la preuve de l’avoir fait, afin de fournir à l’avocat ces pièces essentielles à sa défense.
  • D’adopter une attitude constructive pour convaincre la justice et les organes sociaux de sa bonne foi et regagner une confiance perdue.
  • De se soumettre aux procédures pour cette reconquête de son fils et de meilleures relations avec son ex-compagne.

 

Une fois l’aspect financier purgé et accepté par le Tribunal.

D’entreprendre toutes les démarches pour qu’il puisse revoir son fils et rétablir un droit de visite à remettre en place.

 Nous ne voulions pas entrer dans tous autres procédures, celles proposées étant déjà évaluée à

CHF 10’000.00/12’000.00 et peut-être même plus.

 Au vu de la situation, cela nous est apparu raisonnable et possible.

Tout en imaginant que l’avocat devrait faire preuve de talent pour que le Tribunal accepte ce plan.

 Conclusion :

Marc ne s’est pas exécuté, il est resté dans une posture de griefs tout azimut, contre une juge, son ex-compagne, des erreurs du système et autres fautes.

  • Surtout, il ne nous pas écouté.
  • N’a pas fait le versement convenu ni fait d’ordre permanent.
  • Il n’a pas tenu la parole donnée

 Dommage pour lui, car la partie est d’avance perdue et le risque d’une descente aux enfers est majeur.

 Notre association n’a que pour but de venir en aide à celles et ceux qui la sollicite, mais nous ne pouvons pas agir dans l’absurde, ni contre la loi, mais seulement en imaginant des plans raisonnables et en ouvrant des portes que les demandeurs se doivent de saisir.